Le problème ici, ce n'est pas qu'on exige une traduction pour On/Off, parce que ça, si on s'assoit deux secondes pour en discuter, on pourrait finir par s'entendre. Ce qui enrage, c'est que pendant des années, ça n'a dérangé personne. Et du jour au lendemain, y'a un déclic. Sans consultation ni pré-avis, c'est maintenant contraire à la loi.
La semaine dernière, on a connu le Pastagate, alors que l'Office québécois de la langue française voulait faire traduire de l'italien au français le mot "Pasta", sur les menus du Buonanotte, pis pour terminer ça en beauté, il s'est invité chez JoeBeef et à la brasserie Holder, chez qui on voulait faire retirer la mention "On/Off" dans la cuisine.
D'un ridicule.